Monteverde J1

Hola chiquitos


Le 23, départ d´Arenal pour rejoindre Monteverde. Si le temps de transport peu parfois être du temps perdu, ce trajet va rester un de mes meilleurs souvenirs du Cosa Rica (oui, je parie sur l´avenir)
On appelle ca le jeep - boat - jeep, alors, obviamente, se toma un tipo de van, un barque, y un tipo de van. Facile ^^


La traversée du lac Arenal (un lac artificiel immense, qui alimente toute la region en electricite) a duré environ une heure, une heure et demie, mais jáurais pu rester toute la journée assise dans cette petite embarcation aussi rapide qu´un papillon sous verre les jours de grand vent. Lent glissement sur l´eau bleue et offerte, regards interloqué des oiseaux immobiles, quelques éclats de rire pour percer le silence béat (essayer d´expliquer l´origine étymologique d´un mot francais, en anglais, à une hollandaise.... mon dieu, que d´aventures !)
Je vous offre quelques photos, dites vous bien que c´est bien plus beau en vrai...

Ensuite,
on monte dans un mini van, et comme j´en ai pris l´habitude je demande immédiatement au chauffeur si je peux venir à côté de lui ; good point ! Je peux discuter avec lui, toujours des types sympas, je ne vomis pas (JE NE VOMIS PAS), et surtout, surtout, surtout,
j´ai une vue tip top de la mort sur le paysage...
Et en l´occurence, parler de mort est relativement approprié, puisque les deux heures de bus se passent sur des caminos que los europeos no pueden imaginar, ambiance 4x4, piste de terre,
et lorsque nous avons traversé un ravin sur un pont de terre, des pierres tombaient à notre passage...

Tout est tellement vert, luxuriant, parfait, que je m´attendais à voir débouler un ou deux hobbits à tout moment.
Je n´ai pas de photos de ces moments, excusez moi (j´aurais aimé vous montrer le caramel des enfants riant à notre passage, le long d´une école peinte en bleu) (et les chiens qui les suivent)


Et, petit à petit, tu vois la cloud forest apparaitre, ou la montagne disparaitre, comme tu preferes.
Ce n´esst vraiment pas comme du brouillard, là, tu vois devant toi, à un petit mètre, ou moins, un nuage qui se deplace. J´ai bien dit devant, pas au dessus.

Que raro !